Toujours sur le qui-vive, nous échangions par gestes référencés pour évaluer la menace et prévenir l’agression. Dans l’intimité, c’était un langage de mains, de toucher, de caresses ou de coups, parfois ponctué de grognements ou de cris outragés.
Französische Literatur der Gegenwart
Toujours sur le qui-vive, nous échangions par gestes référencés pour évaluer la menace et prévenir l’agression. Dans l’intimité, c’était un langage de mains, de toucher, de caresses ou de coups, parfois ponctué de grognements ou de cris outragés.