C’est le 16 Juillet je scrute le Journal du Ciel. Je note le nom de ce jour, ce matin il vit encore. Dans quelques jours, une semaine, au plus tard, il ne sera plus, j’aurai oublié son nom, je ne saurai plus son âge. En hâte prudente je l’inscris dans sa fraîcheur de 16 Juillet, il est 5 h 30, je vois une étoile, seule, nue, pure, un infime trou de lumière dans les ténèbres. Scintille comme le clin d’œil de l’actualité, un pétillement d’En-Haut. Seule mon imagination peut croire entendre l’Ukraine agoniser à l’Ouest. Je ne l’exerce pas. L’étoile et moi nous nous parlons. Je suis dans l’état de la disciple d’un Virgile du tout premier siècle des apocalypses, qui reçoit une lettre céleste.
Kreuzigung der Popikone in Bayamack-Tams „Autopsie mondiale“
Emmanuelle Bayamack-Tams „Autopsie mondiale“ lotet die Grenzen zwischen Theater, Prosa und politischer Allegorie aus: Im Zentrum steht eine fiktive Inszenierung, in der Michael Jackson, Britney Spears, die allegorische Figur der Weltmeinung und ein Fan eine Verhandlung auf der Bühne führen. Diese dramatische Konstellation weist über die individuellen Leben hinaus, als Spiegel für universelle Themen wie Schuld, Identität, Verantwortung und die Macht der öffentlichen Meinung. Mit Sarkasmus, Pathos und Gesellschaftskritik legt Bayamack-Tam die Mechanismen moderner Kultur und ihrer Zerfallserscheinungen frei.