Jean-Jacques Goldman tient beaucoup à son nom. Il n’a jamais envisagé d’en changer, même lorsque ses producteurs le lui ont suggéré au début de sa carrière. Au micro de NRJ, dans les années 1980, il déclare avec simplicité : « Je m’appelle Jean-Jacques Goldman. C’est le nom que mes parents m’ont donné, alors je l’ai gardé. » Et plus tard, dans Tribune juive : « Je m’appelle Goldman. Quand on me demande quelles sont mes origines, […] je dis que je suis fils de Juif polonais et de Juive allemande. »
Ein besseres Gedächtnis als wir: Mathias Énard, Déserter
Mathias Énard schreibt über einen fiktiven ostdeutschen Mathematiker, der seinen KZ-Aufenthalt in Buchenwald und seine Liebe dichtend bewältigt und über einen Kriegs-Deserteur, der durch die Wildnis aus seinem Land flieht: 1. Vibrationen aus Odessa – 2. Gespenster in Weimar – 3. Konjekturen und Metafiktion
➙ Zum Artikel